Ni surveillance, ni gestion : les raisons et tentatives d’écarter le Comité central
Les problèmes juridictionnels entre le Comité central et la Commune ne vont qu’en s’aggravant, à tel point que plusieurs membres siégeant à l’Hôtel de Ville souhaitent la disparition de cet organe directif de la Garde nationale. La Commune va réfléchir et débattre sur les moyens à prendre afin d’écarter le Comité central de la gestion des services publics, bref à délibérer dans un premier temps sur les raisons de voir le Comité central disparaître. Ensuite, c’est le Comité central qui prend position et qui justifie son importance dans la conduite des affaires. Finalement, les sous-comités d’arrondissements, qui gèrent parfois de manière trop autonome au goût de la Commune les quartiers à l’instar du Comité central, feront l’objet de réflexions comparables à celles visant à écarter le Comité central. Le pouvoir de la rue devient nuisible, voilà le constat a priori.

Le Comité central à la porte : les raisons de le voir disparaître
Dès le 30 mars, alors que la Commune émit ses premiers décrets, le Comité central voulut y adhérer en apposant sa signature au bas de chaque communiqué. Par contre, plusieurs membres de la Commune voulaient déjà que l’on refuse tout pouvoir politique au Comité central, y compris l’administration de la Garde nationale. Le premier incident connu survint le 1er avril au département de la Guerre alors que le Comité central avait nommé le général Cluseret comme chef de ce département afin qu’il réorganise l’administration de la Garde nationale. Offusqués, plusieurs membres de la Commune demandèrent la suppression du Comité central qui, selon eux, n’avait nul droit de nommer un homme à un poste sans consulter la Commune. Cluseret désavoua sa propre nomination et l’affaire en resta là temporairement.
Cet incident est un exemple intéressant de l’irresponsabilité du Comité central, qui peut s’expliquer par l’extrême confusion de ses idées politiques. Il ne parvient pas à trouver une solution afin de régler ses problèmes avec la Commune. Autrement dit, il ne sait pas faire la différence entre le contrôle (lui) et l’administration (la Commune). Ce constat, qui semble être une conclusion, n’est en fait qu’une amorce à l’étude du problème, voire une première raison émise par la Commune pour se débarrasser de cet organe devenu gênant. La Commune indique qu’il y a une confusion parmi les troupes chargées de défendre la capitale. Elle est d’avis que la contestation de ses décrets engendre cette confusion, car il se développe alors des « initiatives contradictoires » qui se transforment en plusieurs petits pouvoirs autonomes agissant chacun de leur côté. Au cours d’une séance le 2 mai à l’Hôtel de Ville, Chalain, un membre de la Commune, dit: « Le Comité central fait tous ses efforts, tout ce qu’il est possible de faire pour supplanter la Commune. Je proclame que tous les membres de la Commune qui siègent ici et qui siègent au Comité central, qui soutiennent beaucoup plus les intérêts du Comité central que les intérêts de la Commune, font œuvre de trahison. »
Si la défense occupe une place importante dans ce conflit juridictionnel, il faut considérer que l’argent est le nerf de la guerre. À cet égard, le délégué aux Finances Jourde se plaint de l’insertion du Comité central dans son département, notamment en ce qui concerne la question des ordonnancements. Le 8 mai, Jourde affirme: « (…) je sens le besoin de protester et de vous demander si le Gouvernement s’appelle le Comité central ou la Commune. »
Il est difficile d’énumérer toutes les raisons invoquées par la Commune pour voir le Comité central disparaître. Par contre, la Guerre et les Finances sont encore une fois les pivots de la question résumant l’ingérence du Comité central dans les affaires. La Commune veut le destituer, car il bloque le bon fonctionnement de la « bureaucratie communale ». Veut-il contrôler ou gérer? Pour Camille Pelletan, la réponse est ambivalente: « Aussi le Comité central cherche-t-il tous les moyens de reconquérir le pouvoir: tantôt il fait fonder un journal qui plaide sa cause; tantôt il accueille les mécontents de la Commune, Rossel, par exemple, qui a fini par lui faire donner officiellement une part du pouvoir; tantôt enfin le comité, à qui l’on s’adressait encore, suscite des embarras, désigne des officiers, présente des réclamations. »

Le Comité central se défend
Le Comité central ne tarda pas à donner réplique aux attaques dont il fait l’objet. Son premier argument consiste à valoriser le rôle capital qu’il a tenu lors de la semaine du 18 au 26 mars alors que Paris était sans gouvernement. Le Comité central se perçut ensuite comme cet organe révolutionnaire qui seul peut propager les valeurs communales dans Paris. Son contact direct avec le peuple parisien justifie par ailleurs son utilité vitale dans la défense des quartiers. Le Comité central ne veut pas administrer la Garde nationale dans un contexte où celle-ci serait fondue dans un quelconque ministère. Pour P.-O. Lissagaray, le Comité central ne peut tenir sa promesse de se dissoudre étant donné qu’il demeure ce trait d’union entre la Commune et les Gardes nationaux (le peuple en armes). Le Comité central voulait convaincre les Parisiens qu’il défendait le prolétariat et les libertés municipales. Ceci constituant deux arguments concrets qui amènent à croire que le Comité central se définissait comme le « bras de la Révolution ».
Ce n’est pas tant le bras qui est contesté, mais plutôt l’étiquette qui est apposée dessus. Même écarté, le Comité central demeure, car les hommes qui le composent continuent d’apporter leur soutien à l’administration communale. Par exemple, la délicate question des ordonnancements, dans laquelle Jourde reprochait l’ingérence du Comité central, est défendue par Gérardin le 8 mai: « En employant le Comité central, nous avons obéi aux nécessités de la situation, (…). En s’adjoignant le Comité central, le Comité de Salut public s’est assuré des auxiliaires utiles, sérieux et dévoués. (…) Les services de la Guerre se trouvaient entre les mains d’une commission militaire, composée de quatre ou cinq membres de la Commune en nombre insuffisant pour faire un travail de quatre-vingts. »
En s’impliquant dans l’administration communale, le Comité central voulait poursuivre l’œuvre de la révolution qu’il croyait menacée. Par son soutien apporté à la gestion de certains services (Guerre et Finances par exemple), le Comité central ne prétendait pas prendre la place des délégués communaux, mais tout simplement veiller à ce que tout se fasse dans l’ordre. Cet ordre, c’est la guerre contre Versailles qui va le justifier et qui oriente cette ambivalence entre gestion et contrôle. Georges Bourgin semble conclure dans ce sens: « Il (le Comité central) était sincère; mais la guerre avec Versailles était déjà commencée, et c’est la guerre qui va orienter de plus en plus le Comité central vers l’action de contrôle, car, à mesure que les événements se précipiteront, il s’inquiètera de voir son œuvre compromise. »
La question des sous-comités d’arrondissement et le problème de leur dissolution
La Commune ne veut plus de contre-pouvoirs. Il existe cependant dans la capitale des sous-comités d’arrondissement qui gèrent de manière relativement autonome les quartiers, et ce, depuis septembre 1870. La Commune veut éliminer ces sous-comités tandis que le Comité central de la Garde nationale tente de les récupérer par la bande. Les sous-comités s’attribuaient vers la fin d’avril 1871 des pouvoirs de surveillance des mairies et d’organisation de la défense.
Les sous-comités n’étaient pas bien implantés dans tous les arrondissements. Par exemple, les IIe, XVIe, XVIIe et XIXe arrondissements accueillirent mal l’existence de ces contre-pouvoirs locaux, alors que des arrondissements, tel le XVe, s’en accommodèrent assez bien depuis la chute du Second Empire. Encore une fois, c’est la question urgente de la défense de Paris qui contraignit la Commune à statuer le 6 avril sur le sort des sous-comités: « (…) l’unité de commandement militaire est une nécessité de salut public; que cette unité est tous les jours compromise par des ordres émanant des sous-comités d’arrondissement; les sous-comités d’arrondissement sont dissous. » Ce décret communal a, selon ce que nous disent les Procès-verbaux, peu d’impact. Theisz, responsable des Postes, dit que les sous-comités n’ont été nullement dissous et, pire encore, le XVIIIe arrondissement a vu un sous-comité réinstallé sous l’égide du Comité central.
Tous sous le contrôle du Comité central, selon plusieurs membres de la Commune, les sous-comités font également l’objet d’accusation d’entrave au commerce. Par exemple, on signale que des Gardes nationaux, sous les ordres d’un soi-disant sous-comité stationné sur la Rue d’Aligre, entraveraient la circulation ferroviaire. Si certains nient l’existence de ce sous-comité, d’autres vont au contraire affirmer qu’il faudrait arrêter tous les hommes « (…) qui se réunissent, soit sous le nom de comité de légion, comité d’arrondissement ou autre chose, tant qu’ils resteront à l’état d’associations gouvernementales. » Voilà que cet exemple du comité de la Rue d’Aligre soulève à nouveau les tensions entre le pouvoir théorique et le pouvoir pratique. La rue refuse de se laisser conduire par des décrets qui ne tiennent souvent pas compte de la réalité. Jules Andrieu, délégué aux Services publics, fait remarquer le 26 avril que la Commune devrait frapper les membres dissidents des sous-comités, tout en ayant soin de confier au Comité central l’application de cette décision.

Andrieu et Allix (maire du VIIIe) soutenaient l’action des sous-comités d’arrondissement, dans la mesure où ceux-ci pouvaient s’occuper de subsistance et de défense. En d’autres termes, il s’agissait de décentraliser une partie du pouvoir afin d’alléger la tâche des membres de l’Hôtel de Ville. Paris est trop vaste pour qu’un pouvoir central puisse la gérer de façon efficace, surtout en temps de crise. Il faut alors déléguer des pouvoirs et faire confiance à la rue, comme le laisse entendre l’historien Georges Bourgin: « Les jacobins qui constituaient sa majorité (de la Commune) ont bien pu, le cas échéant, dire les mots, faire les gestes qui correspondaient à un idéal, en grande partie périmé, de révolution principalement verbale; le contenu de leur système hétérogène est toujours demeuré abstrait, inapte à passer dans la réalité. »
Une étude de cas : la défense de Paris et la place du Comité central en matière de surveillance et de gestion de l’organisation militaire
La menace d’une invasion de Paris par les troupes versaillaises force les responsables de la Commune à prendre des décisions en matière de défense et de stratégie. Aux yeux du Comité central, la Commune semble à tel point déconnectée de la réalité que bon nombre de ses décisions ne sont même pas exécutées. Ceci fait monter à son paroxysme le vieux conflit juridictionnel entre le Comité central et la Commune. Alors que la logique voudrait l’unité dans la prise et l’application des décisions militaires en temps de crise, c’est plutôt l’anarchie et l’inaction qui règnent.
La défense de Paris vue par le Comité central
Le front à Paris détermine la stratégie des Gardes nationaux. Ses ponts, ses rues et ses immeubles sont plus ou moins exposés aux attaques versaillaises selon l’endroit où l’on se trouve. C’est dans cet espace urbain de barricades, de tranchées et de fortifications que le Comité central organise, en misant sur le contrôle total de la Garde nationale, la défense de la capitale, sans toujours se soucier des décisions de l’Hôtel de Ville. Le 27 mars 1871, il indiquait déjà ses intentions en matière de défense: « Le Comité central (…) représente la force militaire. (…) il lui appartient de faire l’organisation de la Garde nationale, d’en assurer le fonctionnement, et de proposer à l’acceptation de la Commune toutes les mesures politiques et financières nécessaires à la mise à exécution des décisions prises par le Comité. »
En clair, c’est le Comité central qui mène et sa vision stratégique repose finalement sur l’exploitation des divisions internes à la Guerre. Par exemple, le Comité central s’imposait partout où une décision n’était pas rendue, publiait des arrêtés et ordonnançait des dépenses sans l’accord du délégué communal à la Guerre. Par ailleurs, le Comité central basait sa vision de la stratégie militaire sur le principe d’abolition des armées permanentes. Pour lui, c’est la milice des Parisiens en armes qui compte et rien d’autre. Il ne sait d’ailleurs pas comment agir face aux soldats permanents, fidèles ou non à la Commune, se trouvant dans Paris. On décide de leur allouer la somme quotidienne de 1,50 franc, sans toutefois les obliger à servir effectivement.
Une autre mesure du Comité central voulait l’amélioration du commandement. Plutôt que de faire passer un examen technique aux cadres de l’armée, comme le souhaitait la Commune, le Comité central faisait passer des « examens politiques » visant à vérifier les convictions révolutionnaires des candidats. C’est devant ce genre d’attitude que deux des délégués communaux à la Guerre, les saint-cyriens Cluseret et Rossel, démissionnèrent devant ce qu’ils qualifiaient d’« incompétence militaire ».

La défense de Paris vue par la Commune
Pour la Commune, l’idée centrale afin d’assurer la défense de Paris est la militarisation de la Garde nationale, c’est-à-dire la création de corps permanents organisés autour de la structure classique et centralisée des compagnies, des bataillons et des régiments. Le général Cluseret veut obliger les Parisiens âgés de 19 à 40 ans, mariés ou non, à servir dans la Garde nationale afin d’accroître ses effectifs dans la lutte contre Versailles. C’est de lui qu’émane l’idée de l’examen technique mentionné précédemment et que le Comité central a transformé en examen politique. Son objectif était donc de donner à Paris une armée digne de la révolution qu’elle organise.
La Commune tente également de hiérarchiser l’organisation de la défense. La Commission militaire de la Commune proposait le 27 mars de délimiter les pouvoirs entre la Commune et le Comité central. Cette proposition consistait à enlever tout pouvoir politique au Comité central pour ne lui laisser que l’administration de la Garde nationale. La Commune a par conséquent le rôle principal par l’émission de décrets militaires tandis que le Comité central doit se contenter d’exécuter les ordres. Le 27 avril, un rapport de la Commission militaire indiquait: « Pouvoir communal délégué aux municipalités; intermédiaire et concours actif par les conseils de légion et le Comité central; ordres militaires exécutés par l’autorité des chefs de légion. »
La Commune veut centraliser ce qu’elle croit être une armée régulière, où il ne manque que le caractère de l’organisation. Le Journal officiel publiait le 5 avril des décisions relatives à la répartition des tâches, confiant par exemple au général Bergeret le commandement de la Place de Paris alors que Cluseret se contenterait d’administrer son « ministère ». Dans les faits, l’espace urbain parisien n’offrait pas à la Commune l’opportunité de centraliser l’organisation de la Garde nationale, et ce, en dépit des courtes distances à parcourir de l’Hôtel de Ville au front.
Les problèmes juridictionnels entre le Comité central et la Commune en matière de défense

Les troupes versaillaises causèrent des défaites, mais également de lourdes pertes aux Fédérés. Les problèmes juridictionnels entre la Commune et le Comité central font perdre du temps et empêchent de combler les vides dans les rangs. Au plan technique, la Commission militaire, au lieu de se trouver au front afin d’orienter la stratégie, prenait la plupart de son temps à recevoir les cadres de la Garde nationale qui réclamaient des vivres, des munitions, tout en se plaignant de ne pas être relevés. De plus, la Commission possédait une imposante batterie d’artillerie au Champ-de-Mars, alors que le Comité central en avait également une à Montmartre, d’où l’impossibilité de créer un parc central d’artillerie.
Devant ces lacunes administratives, qui contribueront à la défaite de la Commune, la Commission militaire semble être la seule à pouvoir trouver une solution. Cluseret tente en effet d’inclure dans son administration des hommes du Comité central, mais ces derniers perçoivent la manœuvre comme dictatoriale. Il le fait malgré que le Comité central avait renoncé à tout contrôle sur la Commission militaire le 29 mars: « Ils (les membres du Comité central) déclarent qu’ils ne cesseront d’être toujours en accord avec la Commune, qu’ils considèrent comme le seul pouvoir régulier. Le Comité (…) ne saurait s’immiscer dans les actes directs de la Commune (…) ».
Cette relative irresponsabilité du Comité central, à nouveau soulignée, peut rendre celui-ci dangereux pour la Commune, mais c’est surtout son influence auprès de la Garde nationale qui est à considérer. D’ailleurs, Edward S. Mason écrit: « The conflict of authorities during April, while serious enough to hamper the administration of war, as Cluseret later insisted, was not serious enough to disturb the Commune greatly. »
Conclusion
Il est difficile de statuer de manière catégorique sur l’attitude de gestion ou de surveillance du Comité central entre le 18 mars et le 21 mai 1871. Le contexte politique de la forte dualité des pouvoirs (théorique et pratique) de la Commune de Paris créa, dans une atmosphère de crise née du double siège sur la capitale, un environnement particulier et confus, où le pouvoir de la rue comptait beaucoup plus que les décrets. Chose certaine, le Comité central voulait que le peuple de Paris participe directement au pouvoir, y compris dans sa forme suprême qu’est la défense.
Par cette étude du Comité central de la Garde nationale, j’ai voulu démontrer jusqu’à quel point l’espace politique pouvait cadrer avec la Ville, car l’influence de cet organe civil détermine des rapports de prises de décisions au quotidien. De plus, la présence du Comité central dans l’espace aussi vaste qu’occupe Paris force la création de ce trait d’union entre l’Hôtel de Ville et la rue. Cette communication n’aurait pas, à mon sens, été possible si le Comité central n’avait pas existé afin de répandre ces idées révolutionnaires, des idées qui ont su malgré tout à prendre des formes concrètes, voire matérielles. Le Comité central désirait être simultanément le représentant d’un socialisme révolutionnaire ainsi que du prolétariat.
Peut-être le Comité central fit preuve de trop d’ambition dans la gérance ou le contrôle administratif de la capitale pendant la crise de 1871.
Bibliographie
Sources
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